Au crépuscule

Au crépuscule, je ferme les volets et me pelotonne sur le canapé

Oubliant tous les tracas du jour pour t’attendre, mon Âmour.

Au crépuscule de ma vie, je sais maintenant que rien n’est défini

Et qu’en affrontant ses peurs alors on accède au Bonheur.

Au crépuscule de cette journée, une seule chose va rester :

plus j’apprends, moins je sais et moins j’attends, plus je crée…

Maryline Martel, plume d’Âmour.

Posted in Non classé.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Résoudre : *
12 − 6 =