Ce sont les deux mots qui me caractérisent le plus, je pense.
Il y a un an, j’étais invitée par la Commission du RSA à faire une demande de reconnaissance à la MDPH car d’après certains membres, j’étais dépressive et mon activité d’auteure ne me permettait pas de sortir un revenu suffisant.
Aujourd’hui, je continue de toucher le RSA car j’ai refusé de les écouter, je continue d’écrire car c’est ma VIE et même s’il m’arrive de fondre en larmes parfois, je suis heureuse d’être là où je suis.
Et je précise que je sais de source sûre qu’un jour, je toucherai un revenu confortable rien qu’avec mon activité artistique.
Réaliser un rêve demande du temps et il ne faut pas se laisser influencer par l’extérieur car personne ne sait mieux que nous ce que veut incarner notre Âme.